La chaîne de valeur agroalimentaire est en pleine mutation
Urbanisation, respect de l'environnement, dérèglement climatique, raréfaction de l'eau... Le modèle mondialisé de l'agriculture intensive est remis en question favorisant le développement de la production biologique et des circuits courts. De nouveaux usages et de nombreuses innovations répondent aux aspiration de consommateurs de mieux en mieux informés.
L'identification et le suivi de ces nombreuses mutations ainsi que la recherche de nouvelles solutions démultiplient les axes de veille du secteur à l'échelle mondiale.
Cas d'usage
dans le secteur agroalimentaire
Suivre les grandes tendances autour de l'agroforesterie et de la permaculture dans une démarche de gestion holistique.
Connaître les dernières règlementations et projets de lois ou encore les accords internationaux.
Détecter les études permettant d'anticiper l'impact du dérèglement climatique sur la production agro-alimentaire.
Santé financière et environnement géopolitique des fournisseurs pour anticiper les risques de pénurie ou de variation des prix.
Retour d’expérience du Groupe Bel
L’entreprise emploie aujourd’hui 13 000 collaborateurs et compte une trentaine de filiales dans le monde.
« Nous prônons l’intelligence collective et la mettons en pratique tout au long du processus : depuis la définition des axes de veille jusqu’à la diffusion des informations collectées », Claudine Bras, Business Intelligence Manager du Groupe Bel. C'est dans cet démarche que la veille est déployée de sorte à répondre aux besoins quotidiens des opérationnels tout en développant une vision macro et transverse pour répondre aux enjeux plus stratégiques. Toutes les directions ont ainsi été engagée dans la démarche visant à construire une vision macroscopique des tendances du marché. « Les thèmes sont interconnectés les uns les autres et impactent plusieurs directions. La responsabilité sociétale des entreprises n’est pas l’affaire du seul département RSE, il concerne aussi l’innovation, le marketing, la communication... », explique Claudine Bras.